De la glace naitra aux printemps enneigés
La source de nos vies si longtemps oubliée.
Le soleil donnera
l’élan vital des retrouvailles
Eclairant nos yeux au creux de la grisaille
Le ciel s’ouvrira sur les plaines tranquilles
Océan de verdure recouvert de jonquilles
Le vent apportera les odeurs du printemps
Et mon esprit
s’abandonnera aux airs d’antan.
Quand viendra le temps
d’oublier les blessures
Que la morsure du froid cassera les fêlures
Au pied des hêtres les ombres s’effaceront
Et la lumière réchauffera les cœurs moribonds.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire